Nuit tranquille, sauf quelques coups de canons de temps à autre. 8 h. 1/2, deux aéroplanes français.
Visite à la Maison de Retraite ; très bien accueilli ; et à la Brasserie Veith avec M. le Doyen de Saint-Remi, et M. Maitrehut.
Cardinal Luçon dans son Journal de la Guerre 1914-1918, éd. par L’Académie Nationale de Reims – 1998 – TAR volume 173